Je ne peux rire vue mon activité mais bon je frissonne rien qu'en imaginant les réveils ainsi jusqu'à Arendelle... Enfin je darde ma langue, il retombe sur le coussin. Mais rapidement ses mains se posent sur mes fesses. Je gémis à ce contact, c'est la première fois qu'il les touche, il semblerait que je ne sois pas la seule à laisser mon instinct parler. Je gémis quand il touche mon inimité, ce que je lui fais m'excitant grandement. J’émets un cri de surprise quand il m'attrape pour placer la fleur de ma féminité a porté de sa bouche. Le passage de sa langue à cet endroit m’électrifie et je serre un peu plus ma main autour de sa verge quand il se met à faire des choses incongru à ma rondelle. Ciel je ne pensais pas qu'on pouvait avoir ce genre de plaisir à cet endroit et pourtant je ne pu que gémir, une fois la surprise passé qu'il me bouffait le cul. Il retourne à mon bouton de nerfs et peu à peu nous perdons pieds. Je bouge mes hanches aux rythme de sa langue et lui à celui de mes mains sur sa verge. Les gémissements, nos mains et nos langues, celà forme une sorte de symphonie aphrodisiaque. Il m'averti comme si j'allais arrêter, non Captain,je ne cesserai pas. Je prend alors son gland dans ma bouche et je continue de tourner ma langue. Je sens alors sa semence envahir ma bouche en continuant à tourner ma langue, j'avale chaque goutte de son sperme, je viens alors que j'avale la dernière goutte. Je laisse sa verge, tremblante e il me ramène à lui. Ma tête sur son épaule, je sens sous ma main son coeur qui bat aussi vite que le mien. Je pense que je ne me lasserais jamais de cette sensation. Le temps file, quand il dépose un baiser sur mon front, je sais que l'heure de quitter la cabine arrive. Je souris avec douceur à son clin d'oeuil et à son baiser sur ma main. je me relève aussi et m'habille rapidement de la robe marron simple que j'ai à bord. Avant qu'il ne sorte je lui demande.
- « Me donnes tu l'autorisation de chanter et danser pour toi et ton équipage sur le pont ce soir? J'aimerai te remercier toi et tes hommes de m'accepter ainsi à bord. Je sais que j'ai pas forcément fait bonne impression à tes hommes au départ, puisque j'aurais pu les tuer. Mais je pense que ça va mieux à présent. Puis quand Will et Smee m'ont demandé de chanter hier soir, je me suis souvenue que je faisais souvent ce genre de chose pour mon roi et mes enfants. Je vais avoir juste besoin d'une petite heure pour faire deux ou trois achats avant si tu me le permets. »
Il me donnen l'autorisation dans un sourire, quand nous sortons Smee et Turner monte à bord, il demande à Smee de m'escorter. Une heure plus tard, ce pauvre Smee revient les bras pleins de différents paquets. Je lui ai fait promettre et jurer de ne rien dire à personne de nos achats, pas même à son capitaine si il tenait à la vie. Il m'avait regardé un peu apeuré avant de me sourire et de me dire.
- « Viviane, je commence à vous connaître je pense, vous me feriez pas de mal pour si peu. »
J'avais éclater de rire à cette remarque alors que nous montions de nouveau à bord du navire et je lui déposais alors un baiser sur la joue en lui disant.
- « En effet, mais je serais quand même très triste si vous veniez à parler de tout ces achats. Vous voulez pas me rendre triste quand même. »
Il m'affirma que non, et qu'il dirait à son capitaine que je lui avait demandé de garder le secret pour que lui aussi soit surpris, mais que s'il insistait il lui dirait tout. Je lui fis un sourire pour lui faire que je comprenais. Il déposa mes achats sur la table dans la cabine de Killian avant de remonter sur le pont. Moi je me mis rapidement à l'oeuvre, avec ma magie, je n'avais pas le temps de le faire manuellement malheureusement, il y avait bien trop à préparer. Une fois la couture faites, je remontais sur le pont me faufilant entre les hommes qui travaillaient dur, le vent n'étant pas vraiment en notre faveur. Je me dirigeais d'un pas ferme et décidé vers l'office des cuisine. J'avais retenu quelques petites choses depuis que j'étais à bord. Je frappais à la porte de l'office avant qu'un grognement me dise d'entrer. J'entrais cgherchant ce vieux grognon et je lui dis.
- « Bien le bonjour Maître Hamilton. Je... Enfin tournant pas autour du pot, j'aimerait savoir s'il était possible de faire monter quelques tonneaux de rhum sur le pont ce soir. Le capitaine est au courant, il m'a donné l'autorisation pour tout celà. Après si vous voulez vérifier avec lui je comprendrais. Enfin voilà, je ne vais pas vous déranger plus longtemps... Ah si juste pour vous dire que j'adore votre cuisine et que si vous me le permettez un de ces jours, j'aimerai préparer un repas pour le capitaine et pour vous ses hommes. C'est le moins que je puisse faire, pour me faire pardonner notre première rencontre. »
Je lui fait un grand sourire, avant de le laisser faire ce qu'il estime devoir faire concernant ma, enfin mes demandes. Je remonte sur le pont à la recherche d'une personne en particulier, où il est passer celui là. Je lève ma tête et le vois entrain d'oeuvrer sur une voile. Je soupire, je sais que Killian à un soucis avec la magie, mais il m'a bien laissé réparer le navire au port, pourqu'oi ne m'a t'il pas demander mon aide pour ça, un peu de concentration et aucuns de ses hommes ne se mettrait en danger ainsi. Quand enfin Turner pose le pied sur le pont, je l'alpague.
- « Will j'ai besoin de toi, tu pourrais m'aider sur un sujet précis. »
Alors je lui explique ce que Killian m'a permis de faire et je lui demande de s'occuper de la musique. Je me mets alors à l'avant du navire, dans ce coin qui est le mien depuis que je suis à bord. Quand le soleil commence à décliner je repars seule dans la cabine pour me mettre ma tenue de "scène". Première chose, un bain chaud. Je fais apparaitre un baquet et le remplis d'eau chaude avant d'entrer dedans. Une fois propre, ciel que ça fait du bien un bon bain, je commence par enfiler la jupe noire en soie noir recouverte de dentelle au crochet et qui tenait par un croisillons sur mes fesses. Heureusement que j'avais pour habitude de m'habiller seule, car franchement le laçage c'était pas une mince affaire. Bon maintenant, je passais à la coiffure, simple, je nouais seulement deux mèche de cheveux ensemble pour me dégager le front. Je laissais ma longue chevelure sombre lâche. J'enfilais alors la paire de bottes que j'avais confectionné à partir de tissus de cuire et de bois tendre pour le talon que j'avais recouvert de cuir. Puis vint le moment le plus douloureux, ce punaise de corset. Mais bon comme on dit, il faut souffrir pour être belle. Je prend le corset en soie rouge brodé de perles noires et tant bien que mal je case ma poitrine à l'intérieur et le serre au maximum. Puis je relâche ma respiration pour regarder mon reflet dans le seul miroir de la cabine. Bon je ne pense pas pouvoir faire mieux, je suis au moins présentable à défaut d'être belle. Je fredonne pour moi, préparant ma voix pour cette soirée, je vois les mouvement de ma poitrine quand je chante et respire... Puis j'entends alors que je viens d'allumer une bougie dans la cabine en me regardant critique dans le miroir, la voix de Killian.
- « Messieurs. Ce soir, nous allons briser une petite habitude. Dame Viviane a une petite surprise pour vous. Je veux que la joie soit maîtresse ce soir gentlemen. »
A ses mots je sorts de la cabine, ne regardant personne, laissant mon don magique agir, laissant l'eau me rassurer et m'encourager, regardant au large je commence alors à chanter d'une voix pleine et chaleureuse, mouvant mes hanches de manière sensuelle et digne en même temps. Je n'étais pas une prostitué, je n'étais pas une danseuse de rue, mais pourtant je le savais que ma manière de bougé pouvais échauffer les esprits. Le but était de s'amuser ce soir, de laisser derrières les mauvaises impressions. Ma dague était bien à ma cuisse, mais évidemment, personne ne se serait risquer à un geste déplacé envers moi. Mon regard malgré mes mouvements lors des danses et des chants, faisait bien comprendre que j'étais pas atteignable... Le rhum coulait à flot; autant pour eux que pour moi d'ailleurs. Smee fut le premier à me demander si je lui accordais une danse, je lui fit une révérance pour accepter, puis ce fut autour de Will... Alors que nous dansions, je demandais à Will une chose particulière, pour clore cette soirée, je voulais chanter en celte, parler de ma vie avec eux, même si vu la langue il y avait peu de chance qu'ils comprenne. Alors avant de l'entammer alors que Turner réglait les accord que j'avais demandais je dis.
- « Afin de clore cette petite soirée, je vais vous chanter une épopé, sur la légende de Camelot... »
L'alcool qui coulait dans me veines me rendit mélancolique, je fermais les yeux, un sourire doux se fit sur mes lèvres alors que ma voix s'exprimais en celtes. Le rythme était très lent, laissant à l'interprète insister sur les mots comme il le désirait pour que les paroles entre dans le coeur des gens... En celte elle chanta.
- « Il était une fois, au fond d'un lac Il y a plus de 9 siècle de ça, une femme qui vit le jour Elle y resta plus de 3 siècles, seule et isolée, Elle apprenait, apprenanit de l'eau et des anciens dieux, Elle était leur servante, sans jamais qu'on la force Elle avait était créée pour aimer, pour guider. Elle sortit lors d'une nuit de Beltaine. Regardant les étoiles dans le ciel d'été Ce fu ce jour là que le premier enfant à guider lui fut confier Elaine, une fille celte, amoureuse d'un romain. Elle éleva cette adolescente, elle la vit former une famille avec le romain puis mourir en couche. La première douleur, mais pas la dernière. Elle éleva les enfants les vit vivre et mourir. Puis arriva sa rencontre avec Merlin, Celui qui serait son ami, son frère... Ils alllèrent à Avalon, Elle forgea l'épée légendaire, alors que le druide protégeais encore plus L'ile mythiquedes éventuels envahisseurs. Les siècle passaient, inlassableùent et enfin, enfin le but de sa vie arriva. On lui confia Lancelot et Perceval, les plus fidèles chevalier Les plus précieux amis du roi, du seul roi devant qui elle s'agenouilla. Arthur... Merlin guida Arthur jusqu'à l'épée légendaire, et il devint le roi, Camelot vit enfin le jour Quand d'une lame, le tyran Uther, disparu... Mais Arthur était jeune, il fit une seule erreur de tout son reigne Erreur oh combien mortel De sa soeur vint la mort, Morgane, la douce Morgane Avait viré de bord, quand de son baiser glace, la mort avait pris son amant. Arthur mourrut sur le champs de batailles, dans les bras de celle qui avait forgé l'épée. Qui pour le protéger, n'avait plus que sa dague. Une heure durant, la dame du lac protégea le corps du roi Une heure durant, elle lutta contre les sorcier Pictes par son esprit Et avec sa dague contre les soldats. A bout de force, la délivrance vint de son fils Perceval et du cousin du roi Gauvain. Camelot, la paix entre les royaumes mourrurent avec Arthur... Le seul roi, son roi... Elle le mena sur Avalon, qu'il demeure en paix... La légende dis qu'Arthur reviendra quand le monde aura besoin de lui Alors elle prit l'épée légendaire A elle incombe la tâche de la protéger La tâche de vivre jusqu'au retour d'Arthur... »
Aux dernière notes de la musique, j'ouvre les yeux pour voir les pirates sanguinaires comme suspendue à mes lèvres. Je m'incline légèrement devant eux pour faire comprendre que le spectacle est terminé pour ma part, avec un grand sourire, personne ne doit voir ma douleur... Mais il semble que Killian en décide autrement. Alors que je buvais une nouvelle rasade de rhum, il me demande si je lui accorderais une danse. J'accepte, me voyant mal refuser ça au Capitaine devant ses hommes. Nous entamons alors une valse, digne de la cours des plus grands rois, devant sa maîtrise de cette danse. Je lui sourit avec douceur, me remémorant qu'avant d'être un pirate, il était officier de marine royale... Alors que les dernières notes de la valse se mourraient, le rythme d'un tango enflammé se firent entendre. Il me fait un clin d'oeil comme ce matin, et me dis de le laisser me guider. Il m'attire contre son corps. Je lui souris remontant ma jambe droite, entourant ses jambes de cette dernière je lui réponds avec un sourire amusé.
- « Je sais danser le tango, même si je n'ai jamais eu de partenaire avec qui le danser. Mais tu est l'homme, guide moi oui... »
Je place une de mes mains dans la sienne, l'autre se plaçant à la naissance de ses reins. La danse est sensuelle de base, mais on dirait que cela prend un niveau bien plus important quand c'est Killian et moi qui la dansons après les aplaudissement du départ de son équipage, le silence se met à reigner, seul la musique et le bruits de mes talons sur le ponts se font entendre... A la fin de la danse alors que la musique se meurt et que Killian me garde dans ses bras, je remarque qu'il n'y a quasiment plus personne sur le pont. Une musique douce a pris la suite et Killian la chante en me regardant dans les yeux. je me sens rougir furieusement sans savoir pourquoi. A la fin de la chanson je souris à Killian et lui dit que je dois encore remercier Turner, Smee et Hamilton avant d'aller au lit car le rhum commence à me monter au cerveau. Je remercie les trois hommes qui sont les seuls à être encore sur le pont, et je laisse Killian avec ses hommes. Je rentre dans la cabine et retire le corset. Je libère mon pouvoir et ma poitrine se retrouve recouverte d'une fine couche d'eau froide, je soupire d'aise. Je sens alors deux mains se poser sur mes hanches, il relève mes cheveux avec son crochet et dépose un baiser dans mon cou. Il défait le laçage de ma jupe toujours sans un mot. Je repelle l'eau à moi puis me tourne vers lui et retire ma jupe. Je me retrouve seulement avec ma dague à la cuisse et mes bottes à présent. Je lui fais un sourire et commence à retirer ses vêtements aussi d'une main, alors que mon autre main caresse par dessus le cuir son membre déjà gonflé à cause de moi. Je gémis alors qu'il continue ses caresses. D'un mouvement de main, il se retrouve totalement nu. Je lui souris en le prenant par le crochet pour l'amener au lit avec moi. Je l'amène avec moi, m'allongeant sur le lit, lui au dessus de moi. Mes yeux chocolat ne le quitte pas du regard, alors je poses une de mes mains sur sa verge et l'autre sur mon intimité en faisant de lent mouvement circulaire. Je murmure alors.
- « La soirée t'as plus Captain? »
Sa réponse s'étouffe dans un grognement alors que j'inverse nos positions, me retrouvant audessus de lui, lui laissant voir mon travail sur sa verge et sur mon bouton de nerfs. Puis alors que nous somme au bord, j'arrête tout et me couche sur lui, plaçant ma tête sur son torse écoutant son coeur battre. Je m'endors alors ainsi... Les jours passent ainsi, dire que celà ne fait que deux semaines que je suis à bord du Jolly Roger. Mais ce matin là, je sors en courrant de la cabine et me présente devant Killian. Oubliant momentanément, sous l'émotion, que nous n'étions plus dans la cabine je commence par l'apeller par son prénom avant de me reprendre rapidement, même s'il n'y avait que Smee. Mais bon, fallait pas que je commence à l'apeller Killian ainsi devant ses hommes.
- « Pardon, je voulais dire Captain. Me donnes tu l'autorisations de revenire à bord si je m'absente une heure. Y a un navire d'esclave à ... »
D'ailleurs je n'ai pas le temps de finir que la vigie lui dit qu'il y a un navire en vue. je continue du même ton furieux.
- « J'ai toujours combattu ce genre de choses. Je vais me contenter de massacrer les marins et le Capitaine, et de mettre les autres en sécurité et je reviens. Je peux... »
Je n'ai pas le temps de terminer ma phrase que je vois le regard de Killian devenir sombre et hurler de se préparer pour l'abbordage et de ne pas toucher aux esclaves. Je le regarde dans les yeux, pas besoin de mot à cet instant, je repars à la cabine, et passe ma dague dans le poison avant de la remettre à ma cuisse. Puis je prends mon autre épée, Excalibur n'est pas pour ce genre de combat. La rage, monte plus on s'(approche et plus l'eau me communique ce qu'il se passe à bord de l'autre navire. Je regarde Killian qui est à ma droite, nous sommes seul et je lui demande de me laisser le capitaine sans dire pourquoi. Mais je le supplie des yeux. Il semble surpris mais finit par accepter après une longue explications. Quand on est assez proche pour l'abordage. Je suis la première sur le pont adverse et je le traverse tel la morte elle même coup d'épée et de dague empoisonné au passage. J'arrive à ma cible principale, et je place ma dague sur sa jugulaire et lui pose une question de comment il ose faire çàa. Sa réponse ne me plait pas et je l'égorge comme un porc. J'ouvre la porte de sa cabine et je sens mes yeux se remplirent de larmes que je refoule par force d'habitude. Killian me rejoint à ce moment. Il voit comme moi, un frère et une soeur, d'environ 15ans, avec chacun une pencarte autour du cou. Je m'avance ne parlant plusieurs langue pour leure dir qu'ils sont en sécurité, pour arriver au français ou ils me répondent. Je leurs dis alors.
- « C'est fini mes petits anges. Je vais m'approcher et vous enlever les pencarte. Je vais vous mettre des vêtements. Et je vais veiller sur vous mes anges. Plus rien ne vous arriveras. »
Je me retourne vers Killian et lui demande sa chemise et je lui murmure en même temps de me laisser arracher les couilles de feu le capitaine de ce navire. Comment peut ont faire ça... A des enfants, ma rage n'avait jamais été aussi forte. Elle s'approcha doucement, Killian restant à la porte, interdisant à ses hommes d'approcher. Je fis apparaître ma robe marron que je mis sur la jeune fille alors que le garçon mettait la chemise de Killian. Ils ne quittaient pas Killian des yeux, et mon coeur se brisa quand ils me demandèrent s'ils devraient faire la même chose pour le nouveau capitaine. Je les pris doucement dans mes bras en murmurant que non, plus jamais il n'aurait à faire ça sans le vouloir, que plus jamais on ne leur fera ça. Que s'il le voulait je prendrai soin d'eux. ET je fini par dire que Killian était mon ami. Et leur demander s'ils acceptait que Killian s'avance vers eux. Ils échangèrent un regard et comme depuis le départ, c'est la fille qui pris la parole.
- « Si toi, tu deviens notre maman et veille sur nous. Si tu nous dit que ce capitaine est un ami, il peut approcher, mais pas nous toucher. Pas tant qu'on aura pas pris notre décision de savoir si c'est vrai ou pas. »
Je me tourne vers Killian, croisant son regard sombre, il est aussi furieux que moi, mais il avance lentement, ferme la porte et ses yeux deviennent plus doux quand il se met à genoux devant les gosses en leur disant qu'il promet que personne ne les touchera. Je pose un baiser sur la joue de Killian pour le remercier. Puis les deux gamins attrape chacun une de mes mains. On sort tous les trois après Killian. Je plisse les yeux et on voit tous les cadavres être jetés à la mer sans un mot. Je regarde Killian et lui dis.
- « Dites moi Capitaine, vu que je t'ai fait gagné plusieurs jours de réparations, on peut les ramener sur la terre ferme non? »
Il éclate d'un rire franc et ordonne alors à Turner de prendre le commandement de ce navire. Killian me dis de faire le mieux pour les gosses et de le retrouver sur le Jolly Roger, quand ils se seront endormi. Je lui fait un sourire pour le remercier. Alors je le regarde partir sur son navire, Will se mettant à la barre de ce navire. J'explique alors les choses aux enfants. Quelques heures plus tard les deux gamins dorment paisiblement, je me transporte magiquement sur le pont du Jolly Roger, Smee est à la barre, je me dirige vers la cabine. Quand j'y entre Killian est là devant son repas qu'il n'a pas encore touché. Il me fait un sourire quand il me voit, m'indiquant ma place à sa table nous mangeons et parlons de choses bien plus agréable que l'esclavagisme et ce que nous avons fait sur l'autre navire. A la fin du repas nous nous levons, je le regarde dans les yeux et toutes les émotions remontent à moi. Je me jette dans ses bras et lui pose un baiser rapide sur la joue, en le remerciant pour les esclave, les gosses et de bien les mettre en sécurité. dans mon élan nous étions à genoux sur le sol. Il avait sa tête sur mes seins. Il me dit au bout d'un moment, qu'il a besoin d'être seul pour passer ses émotions de la journée. Je vois de la colère dans son regard alors qu'il se dégage de mon étreinte, j'ai l'impression qu'il voudrait m'occire là sur le champs. Sous son regard et sa voix glaciale, je déglutis difficilement avant de lui répondre.
- « Je comprends, t'inquiète pas. Je vais passer les jours à venir avec les enfants. Je leur ai donné des prénoms, Kay et Illana. Enfin peu importe, je prends mes affaires avec moi. Si t'as besoin de moi, Turner me le dira je présume. »
Alors sans plus un mots, mes affaire et moi même quittèrent le Jolly Roger. J'arrivais directement dans la cabine, et mon masque se plaça automatiquement, alors que je regardais les enfants dormir, moi assise dans un fauteuil. Illana se réveilla en nage en plein milieu de la nuit, de grosses larmes roulant sur ses joues, je la pris dans mes bras doucement, l'apaisant et elle se rendormit. A l'aube, je me présentais devant Will. Il me demande se qu'il se passe. Et d'une voix calme je lui demande.
- « Bonjour Will. Dis tu pourrais m'apprendre à naviguer un peu? »
Il me fait un sourire et me montre alors, se plaçant derrière moi me montrant comment manoeuvrer le gouvernail, surtout comment faire quand on était aussi proche d'un autre navire. Au bout d'une ou deux heures, je le demande alors s'il peut me montrer les carte pour voir le trajet de la plage ou on va accoster les gens de ce navire jusqu'à Arendelle. Kay et Illana se sont mis à l'opposé de la place de Will, ce qui oblige Turner à se pencher par dessus moi pour me montrer et m'expliquer comment on calcule ce genre de trajet. Alors qu'il vient de me dire qu'il va me tracer et mettre toutes les indications dessus. Il recule brutalement, et le temps que je me retourne j'entends un coup sec. Je vois alors Will se tenir la machoire et Killian le regardant furieux. Je lui dis alors au dernier.
- « Mais qu'est ce qui te prends? T'es malade ou quoi? »
Killian me répond qu'on ne touche pas à ses affairesμ. je le regarde perdue et je réponds d'une voix glaciale.
- « Mais il t'a rien pris. C'est les carte qui était sur le navire. Il m'aide juste à... »
Il me regarde et réplique qu'il ne parle pas des cartes, et que Turner sait de quoi il parle. La colère prend place sur l'incompréhension et je réplique.
- « Et moi je suis trop conne pour comprendre c'est ça? »
Toujours sur le même ton il réplique qu'il parle de moi. Je n'ai même pas le temps d'être choquée qu'il estime que je sois sa possession. Et je murmure.
- « Non mais il est con comme ça naturellement ou il s'entraîne tous les jour lui. »
J'ajoute à voix haute, furieuse. Me fichant de lui parler ainsi devant Will et les enfants.
- «Non mais tu te fous de moi là! C'est topi qui veut plus de moi sur le Jolly Roger. Will me rendais services, m'expliquant la route qu'on allait devoir emprunter avec les enfant pour aller à Arendelle. Il a rien fait, alors fout moi la paix. »
Sans rien ajouter, je vais à l'avant du navire esclave, retenant des larmes de rages de couler. Kay me rejoint rapidement. Il pose doucement sa tête sur ma jambe et me dis.
- « Maman, pourquoi triste et en colère? »
C'était la première fois que j'entendais sa voix. Je caressais doucement ses cheveux, lui répondant que parfois je ne comprenais pas les réactions des gens à qui je tenais, comme Killian à ce moment. Pendant se temps, Illana avait suivit Killian qui avait pris le chemin du Jolly Roger et l'avait arrêté en l'attrapant par la main. Elle lui avait dit dans un anglais hasardeux.
- « Maman gentille, pas dormir cette nuit, pourquoi tu cri dessus? »
Et Turner en avait ajouté en disant une phrase. Enfin c'est ce que me dis Illana quand elle nous a rejoint moi et Kay. Mais malgré mes sentiments je souris à Illana. Elle a eu assez de confiance en elle, pour toucher Killian. J'avais compris dès notre rencontre, que c'était elle la jumelle qui prenait soin de son jumeau. Et elle avait voulu à sa façon prendre soin de moi. Je l'invitais à se mettre sa tête comme son jumeau si elle le voulait. Doucement je lui caressais les cheveux à elle aussi. Ainsi les deux enfants s'endormirent sur mes jambes alors que je regardais l'horizon. En milieu d'après midi, la terre était en vue, avant le coucher du soleil, on touchait tous la terre ferme. Mes affaires étaient à mes pieds. Une fois toutes les personnes à terre, je laché mon pouvoir et le navire esclave fut mis par le fond. Alors je me retournais vers Killian et je lui dis.
- « Merci, Capitaine Jones, pour le trajet. Nous allons vous laisser à présent. »
Je lui tourne alors le dos, après avoir fait un sourire poli. Je fais un pas en avant avant qu'il m'attrape la main me rappelant qu'il m'a promis de m'amener à Arendelle. je me retourne le regardant dans les yeux.
- « Je te relève de ta promesse, je ne veux pas t'imposer ma présence qui te semble insupportable. Puis j'ai juré de prendre soin des enfants. Nous n'avons qu'un mois de marche, c'est pas trop compliqué. Bon retour à Neverland. »
Il ne relâche pas ma main et il me dit que les gamins peuvent prendre sa cabine de lieutenant que personne n'occupe depuis un moment. Que ma présence ne le dérange pas, qu'il avait simplement des choses à régler. Que ce n'était pas fini, mais que ce n'était pas ma faute. Qu'il espérait que j'accepterais de remonter. Les jumeaux s'avancèrenent en même temps alors que j'étais perdue dans les paroles de Killian. Et ils posèrent leurs mains sur la main qui retenait la mienne et dirent en souriant à Killian "ami", d'une seule même voix. Face à la réaction des jumeaux et à ce que je vois dans les yeux de Killian je réponds alors.
- « Alors dans ces conditions, nous te suivons à bord du Jolly Roger. »
Nous le suivons, le silence se fait dans la barque. Turner est celui qui rame, je remarque son bleu suite au poing dans le la tronche de cette fin de matinée. Je lance un regard de défie à Killian avant de tendre ma main vers Will en l'avertissant que je vais le soigner. Je passa ma main au dessus de son visage, une lumière bleutée illumine ma main et Will me remercie, continuant à ramer par la suite en silence. Une fois à bord du Jolly Roger, Killian nous amène lui même jusqu'à son ancienne cabine. Il reste à la porte alors que je dis aux enfants que c'est leur quartier le temps qu'il nous reste à bord. Illana et Kay regarde Killian et la jeune fille comme toujours parle pour les deux pour le remercier. Puis Kay me regarde et demande de sa voix en plein mue.
- « Maman, tu dors où toi? »
Je souris à l'ado et répond doucement, que je dors dans la cabine de Killian ou sur le pont si j'ai besoin de ressentir l'eau. Killian dit alors aux gosses qu'il viendra frapper à leurs porte à l'heure du repas. Pour manger avec lui et leurs nouvelle maman, en français. Je le regarde surprise qu'il connaisse cette langue. Puis je reporte son attention sur les gosses, je fais apparaitre plusieurs tenues différentes, pour qu'ils puissent se changer et s'habiller. Killian nous laisse alors, et j'expliques aux ados que je vais utiliser ma magie pour les nettoyer et les sécher. Qu'ils n'ont pas besoin de se dévêtir et que je verrais plus tard pour leur dfaire prendre un vrai bain. Une fois ce nettoyage sommaire fait, je met un drap aux travers de la pièce pour que Kay puisse s'habiller en toute intimité. Illana m'ayant demandé de l'aide à la vue du corset de la tenue que je lui avais préparé pour ce soir. J'avais dit à Kay que s'il avait besoin je l'aiderait quand il aurait mis son caleçon. Je n'avais pas de problème avec la nudité, mais j'estimais que la première chose que je devais à ses deux enfant, c'était l'intimité, et le respect. Une fois les enfants prêts. je me mettais derrière le drap à mon tour pour passer une robe simple, sans corset ni rien. une robe légère et blanche. La seule touche de couleur était la ceinture bleu. Ma tenue sur Avalon, je voulais juste être à l'aise. On frappa à la porte, c'était Smee, qui me demanda si on voulait manger avec le capitaine. Je regarde les enfant il me font oui de la tête. Alors nous y allons. Le repas, comme toujours, est très bon. Les enfant mange de petites quantités, jusqu'à ce que Killian leurs disent qu'il peuvent manger plus si ils ont faim, qu'il y a assez de nourriture pour eux. Une fois le repas terminé, les enfants partent au lit et je leurs chantes cette berceuse que j'ai chanté tout au long de ma longue vie à mes enfants. Je laisse un bougie allumée et je rejoins ensuite Killian dans sa cabine. le silence est lourd, on se regarde droit dans les yeux, puis je romps le silence, lasse.
- « Tu peux me dire ce que j'ai fait ou dit qui te dérange autant? C'est que j'ai pris les gosses sous mon aile? C'est... Mais putain! Parles moi, je vois bien que y a un truc qui vas pas, comment veux tu que je rattrapes mon erreurs si tu me dis pas ce que c'est. »
Je cherche une réponse dans son regard, vu qu'il ne semble pas vouoir rompre son mutisme, puis alors que je m'apprettais à remonter sur le pont... Il réagit... Tout ce qu'il me dit c'est trop douloureux... Je quitte sa cabine après lui dire que je lui laisse alors l'espace dont il a besoin et que je n'aurais pas du remonter à bord. Au bout d'un dizaine de minutes de discussions sur le pont, il me prend la main et me guide dans sa cabine à nouveau. Il me retire mes vêtements sans un mot, caressant chaque parcelle de peau qu'il découvre. Il sent et voit mes frissons, il défait lentement mon lien en cuir sur ma cuisse, une multitude d'émotion me traverse. Je l'ai retiré moi même pour partager son lit, mais de là à lui laisser toucher ma dague... Il le fait avec respect et je sens alors une émotion que je connais bien, la reconnaissance et un respect infini. Il me regarde dans les yeux me prenant doucement dans ses bras et il pose alors ses lèvres sur les miennes. Comme pour tout ce qui concerne ce domaine d'intimité, je suis novice et me laisse porter par mon instinct et la confiance que j'ai en l'homme qui me tien dans ses bras. Je fais de mon mieux pour lui retirer lentement ses vêtements alors que notre baiser fait entrer en jeu nos langues... On reprend nos souffle pour se rembrasser à nouveau, quand je regarde ses yeux on dirait que mes lèvres sont son oxygène, ma peau sa raison d'être à cet instant. Il cesse le baiser quand je pose ma main sur son mécanisme, tout le reste de ses vêtements étant au sol. Je le regarde dans les yeux et je lui fait un sourire tendre en lui disant.
- « Une pensée et ma magie, ça sera en place à la moindre menace plus vite qu'il ne te faut de temps pour remettre le crochet sur le mécanisme. Killian c'est toi qui décide, si tu veux le garder, moi ça me va. »
Du regard il me donne l'autorisation, je vois son regard qui ne quitte pas le mien alors que délicatement je lui retire. De peur de lui faire mal, je pause doucement le bout de mes doigts sur cette partie mutilé. Si seulement j'avais été à proximité de lui ce jour là, à défaut d'une main, il aurait pas souffert autant et la cicatrisation aurait était plus rapide. Je pose mes lèvre sur les siennes en lui murmurant qu'il est bien mieux ainsi qu'avec son mécanisme. Il ne verra que de la sincérité dans mon regard... Il me colle à lui alors sans plus de paroles, nos corps parlement pour nous. Son baiser se fait plus passionné, ses mains se posant sur ma croupe quand il s'assoit sur le lit que nous partageons m'amenant à lui. Le me retrouve assise sur lui face à lui alors que nos baiser s’enchaînent. Je me surprend à gémir au bout d'une minute ou deux, sa verge appuyant sur mon bouton de nerf et bougeant une friction se créant entre nos deux intimités. Mais nous continuons à nous embrasser ainsi sans réellement nous en soucier. Nous somme ainsi depuis 10 minutes, dans cette position, il ne peut plus ignorer l'état dans le quel il me met, ni ne me cacher la raideur de son membre. C'est presque en même temps que nous gémissons. On accentue volontairement la friction et alors il se lève en me portant d'un bras pour me coucher sur le lit lui au dessus de moi et continuant inlassablement à m'embrasser. Nous ne sommes plus que gémissement bientôt, entre les baiser nos caresses. A bout, je suis à bout, et comme je ne suis pas encore certaine de ce qu'est l'amour et du fait que je l'aime lui. Je m'entends murmurer d'une voix suppliante.
- « Prends moi le cul s'il te plaît! »
Un bref moment il s'arrête me regardant dans les yeux, je ne peux pas retirer ce que je viens de dire, ni même dire que je ne le veux pas car si je le veux tellement à ce moment. Je suis certaine et je ne le regretterai pas, pas avec lui alors je dis plus fort, toujours avec cette voix bien trop suppliante à mon oreille, mais qui montre à quel point je le désire.
- « Killian... Pitié... »
Il accède à ma requ^^ete, humidifiant d'abord un de ses doigt pour me préparer, je l'accueil si simplement et naturellement, qu'il gémis dans mon cou et je place alors moi même son membre recouvert de ma mouille à l'entrée de mon cul, quand il retire son doigt. Un regard, pas besoin de mot, je crois que je ne peux pas être plus claire sur ce que je désire. Il titille l'entrée de mon cul de son gland et petit à petit je sens mon anus s'ouvrir pour lui, quand son gland est entré totalement je pousse un gémissement de plaisir et murmure d'extase.
- « C'est tellement bon... J'ai pas mal mon Captain. Je te promets de te le dire mais crois moi, j'ai tout sauf mal... »
Alors lentement, ne me quittant jamais mon regard, il entre en moi, centimètre par centimètre. J'écarquille les yeux à chaque fois qu'il bouge, mais mes gémissements eux n'exprime pas de la douleur ou de la surprise, mais bien du plaisir. Un plaisir si intense que quand il commence à bouger en moi je ne peux retenir des cris s'échapper d'entre mes lèvres. Je vois la fierté dans son regard, mais comme toujours il ne dit rien, de peur que je fuis, que je regrette. Alors essayant de retenir mes petits cri pour lui parler je ne peux que dire distinctement.
- « Killian... plus... pitié accélère... C'est tellement bon de t'avoir en moi... je... tellement bon... »
Alors à force, sans prévenir je sens l'orgasme me frapper de plein fouet et c'es violent, mais vraiment, j'hurle son prénom, j'ai l'impression de lui écraser son membre en moi et alors il l'atteint lui aussi l'apothéose... Je le regarde et dans j'arrive à lui dire qu'il est beau quand il lâche prise. Il est en moi, sur moi et nous sommes les yeux dans les yeux... Je dépose mes lèvres sur les siennes et d'une voix taquine je lui dis.
- « Je te l'avais dit que le jour ou je t'embrasserai volontairement tu le saurais.»
Je l'embrasse à nouveau avant qu'il ne réponde, puis il change de positions, sortant de moi et me plaçant dans ses bras pour que nous dormions. Il me caresse et me poses des baisers dans le cou jusqu'à ce que je m'endorme, ce qui je dois bien l'avouer est assez rapide. Je m'endors dans ses bras toujours tremblante de l'orgasme de notre abandon...
Des années que je n’avais pas dansé avec une femme. Des siècles même. Enfin pas dansé sans avoir une once d’autre pensée dans la tête que lui faire plaisir et profiter du moment. Alors qu’elle était déjà partie dans notre cabine j’étais resté avec mes trois hommes pour les remercier leur donnant rendez-vous demain matin avant de me retirer rejoindre la sirène qui m’attend. Je la vois de dos avec rien d’autre que sa jupe et ses bottes, sa poitrine libérée. Je me place derrière elle calant ma main et crochet sur ses hanches me collant à elle en continuant comme une danse douce et silencieuse alors que je lui embrasser le cou et la gorge. Je lui souris quand elle se retourne caressant ses hanches avant de défaire sa jupe. Je reprends mes baisers dans son cou alors que je caresse chaque parcelle de son corps et qu’elle me déshabille lentement s’occupant de mon problème dans mon pantalon de cuir. C’est avec un sourcil levé que je remarque l’utilisation de sa magie pour me déshabiller. Efficace quand même ce talent. Je la laisse me guider jusqu’au lit et faire ce qu’elle veut de moi. Mes yeux se replissent encore plus de luxure quand je vois ces actions sur nos deux intimités en même temps. C’est une vision qu’un homme pourrait s’habitué à voir souvent. Voir quotidiennement. Ce petit cadeau supplémentaire me plaît énormément je l’avoue.
Les jours passent et se ressemblent pour ma grande satisfaction. Ce matin-là j’effectuais des itinéraires de route avec mon second quand Viviane arrive en courant jusqu’à moi. C’est les sourcils froncés que j’essaie de savoir le pourquoi cet état, je ne remarque même pas qu’elle a utilisé mon vrai prénom pour s’adresser à moi, je dois avouer que maintenant je n’en ai que faire. Navire d’esclave. Ma mâchoire se resserre à cette mention me rappelant mes premières années de vie sous les coups de mes ‘maîtres’… Sa supposition se confirme quand l’homme dans ma vigie averti d’un navire en vue. Elle n’aura pas besoin de mon autorisation pour revenir sur le Jolly Roger après son carnage. J’y participerai avec elle. C’est le regard aussi noir que les abysses que j’aboie mes ordres à mes hommes.
« Préparez-vous à l’abordage ! Le premier qui touche ne serait-ce qu’à un cheveu des esclaves se verra vider de ces entrailles par mon crochet c’est entendu ?! »
Aussitôt mes ordres donnés je donne un dernier coup d’œil à Viviane qui repart se préparer elle-même dans ma cabine. Je peux sentir la rage de Viviane augmenter alors qu’on se rapproche du navire ennemi, je ne crois pas avoir déjà vu quelqu’un avec tant de colère dans son regard. Je m’accroche aux haubans avec Viviane à mes côtés prêts à déchirer les entraines de ces hommes dès que le Jolly Roger sera arrivé à la hauteur de ce navire. Mes hommes hurlent à leurs habitudes dans ce genre de situation sautant sur le navire adverse dès qu’ils le pouvaient. Même malgré la rapidité de mes hommes, Viviane était la première sur le pont ennemi, tuant tous ceux qui lui barraient le chemin jusqu’à ce que je pense être la cabine du capitaine. Je voulais la suivre aussi rapidement qu’elle mais quelques ennemies ralentissent mon ascension. Pas de longtemps, mais assez. Quand j’arrive à rattraper Viviane je la vois dans la cabine avec deux enfants et le cadavre du capitaine égorgé comme un vulgaire porc. Sa mort était trop douce selon moi quand je vois l’état des enfants… C’est en voyant ce genre de chose que je béni le nom de mon frère de nous avoir protéger de ce genre de chose. Quand on est un jeune garçon sur ce genre de navire ces choses-là arrivent très souvent… pas pour rien que le code nous interdit d’avoir des jeunes hommes et femmes sur les navires. Les hommes en mer sont des animaux et encore c’est insulté les animaux…
« Will, que personne ne s’approche d’ici. » Mon quartier-maître m’approuve d’un signe de tête s’occupant ensuite des derniers survivants. C’est le regard encore noir de rage que j’enlève ma chemise pour la donner à Viviane et acquiescer ; elle fera ce qu’elle voudra du cadavre du capitaine. Elle aurait dû le laisser vivant… Mes hommes se seraient occupé de lui. Aux mots de la jeune fille mon estomac se retourne de nouveau, quand ils acceptent que je m’approche je le fais après avoir fermé la porte derrière moi et m’accroupis devant eux. Ils sont tellement jeunes et maigres… Mon regard se fait plus doux en leur répondant. « Je vous promets que personne ne posera la main sur vous. » que mes hommes essaient seulement… ils savent très bien ce qui les attendent. Je souris quand je sens le baiser de Viviane sur ma joue pour me remercier. Une fois dehors je peux voir mes hommes offrir au maître des océans leurs offrandes. A la question de Viviane je rigole en la regardant d’un regard doux. Bien sûr que j’accepte.
« Turner ! Tu prendras le commandement de ce navire, on déposera les personnes restantes en sécurité. » Je me retourne vers Viviane posant doucement ma main sur son épaule. « Fais ce que tu as à faire avec les enfants et retrouve moi sur le Jolly Roger quand ils seront endormis. »
Je la laisse donc sur le navire regagnant le mien continuant mes activités. C’est tard quand les enfants sont endormis que Viviane me retrouve dans ma cabine. Je l’attendais pour manger, repensant aux activités d’aujourd’hui et me remémorant mon enfance et adolescence sur les navires esclaves avec mon frère. Personne n’est encore vivant pour connaitre ce détail de mon passé. Le repas c’était bien passé, elle avait réussi à me faire oublier tout ça mais… alors que notre repas était fini elle se jette sur moi pour m’embrasser. C’était surement un baiser sur la joue, mais ses lèvres ont touché les miennes sous son enthousiasme et mon cœur avait bondi hors de ma poitrine. On se retrouve à genoux ma tête contre sa poitrine ma respiration incontrôlable. Ce baiser était involontaire, fugace et désordonné mais c’était suffisant pour me faire sentir comme je le suis maintenant. Je n’embrassais jamais personne, aucune femme qui partageait ma couche, peut-être des fois dans le feu de l’action est c’était des baisers agressifs sans rien de plus. Je ne ressentais pas mon cœur tambouriné ma poitrine comme à l’heure actuelle, ce fugace halo de chaleur qui m’avait englobé. Quand je pense pouvoir parler sans que ma voix ne tremble sous l’effet des émotions je le fais. « J’ai besoin de temps seul pour remettre en place mes émotions. C’était une dure journée. » ma voix était peut-être trop glaciale à voir son regard… c’est énervé contre moi-même que je la fixe alors qu’elle disparaît de ma cabine. Je passe ma main sur mon visage ma respiration reprenant un rythme normal. C’est avec une bouteille de rhum que j’essaie de calmer mes pensées alors que je suis de nouveau seul dans cette cabine sombre… j’ignore complètement ce qui m’arrive. J’apprécie Viviane, ça je ne suis pas dingue, mais pourquoi avoir eu cette réaction aussi violente envers moi-même ? Je m’assois sur mon lit ressortant le dessin de Milah qui ne me quitté jamais depuis sa mort, caressant le visage de ma défunte reine. Je dois rester des heures ainsi jusqu’à ce que l’épuisement se face trop sentir et que je ne m’endorme tout habillé sur mon lit trop vide.
Je me lève avant l’aube avec trop peu d’heure de sommeil. Je me place à la barre du Jolly Roger, ne quittant pas l’autre navire où est Viviane des yeux. Quand je crois l’apercevoir sur le pont de l’autre navire je sors ma longue-vue, l’observant, l’espionnant en quelques sortes. « Dame Viviane n’est pas avec toi ? » Je jette un rapide coup d’œil à Hamilton qui est à côté de moi. « Elle est sur l’autre navire. Je l’ai en quelques sortes congédié hier soir. »« Qu’est-ce que t’as fait Killian ? » Je me dégage de ma longue vue pour regarder le sol d’un air grave. « Elle m’a embrassée. Ce n’était pas vraiment un baiser, mais ça a réveillé quelques choses en moi. » « T’as mal réagit, je vois junior. » J’allais lui répondre autre chose quand je reporte la longue-vue devant mes yeux. Ce que je vois… Une rage s’établit en moi alors que je lance la longue-vue et me précipite vers l’autre navire. Je peux seulement entendre les derniers mots d’Hamilton qui semblait avoir vérifié l’état de ma colère. « Pauvre Turner… »
C’est dans une rapidité et agilité de plusieurs siècles de piraterie que j’atterris sur l’autre pont, le poing fermé et le regard noir. Will s’est dégagé de Viviane, mais pas assez vite à mon gout. C’est avec force que je lui envoie mon poing dans le visage, Turner reculant de plusieurs centimètres au choc, se tenant la mâchoire. C’est toujours furieux que je regarde ce petit arrogant. - « Mais qu'est ce qui te prends ? T'es malade ou quoi ? » Je ne quitte pas des yeux Turner répondant d’une voix pleine de colère. « On ne touche pas à mes propriétés ! » Mais Viviane ne semble pas comprendre ce que je veux dire vu sa réplique. « Je ne parle pas de ces putains de cartes ! Il sait très bien de quoi je parle ! » Bon dieu ! Elle m’énerve à pas comprendre ce que je veux dire, vraiment ! « Je parle de toi Viviane ! » je la regarde avec mes yeux toujours furieux prêt à péter de nouveau la gueule de Will s’il le fallait. Ce n’est pas souvent que Viviane s’emporte, c’est même la première fois que je la vois ainsi. Pour ça que je ne dis rien quand elle me parle sur ce ton devant les enfants et Turner. Mais je n’ai pas le temps de lui répondre que déjà elle part à la proue du navire. Avec un dernier regard noir à Turner je vais pour rejoindre de nouveau le Jolly Roger quand je sens une main sur moi pour me retenir. Je vois la petite, Illana me reprochant mon comportement envers sa ‘mère’. Mon regard allait être plus doux face à cette jeune fille mais j’entends Will dire les mots interdits. A man unwilling to fight for what he wants deserves what he gets. La phrase que mon frère me disait tout le temps, phrase que j’avais dites à Turner il y a tellement longtemps. Je lance juste un regard meurtrier à Turner avant de me dégager doucement de l’emprise d’Illana et de repartir sur mon navire ma fureur encore bouillante. Hamilton avait essayé de m’arrêter mais je l’avais envoyé se faire voir avant de m’enfermé dans ma cabine pour le reste de la journée.
Quand nous sommes tous à terre pour libérer les esclaves je ne quitte pas le sol des yeux, le cœur lourd. Je ne regarde même pas quand Viviane détruit le navire esclave, des tas de reproche se bousculant dans mon esprit. Je ne remonte mes yeux que quand Viviane s’adresse à moi. Ou plutôt me dit adieu. Quand elle est dos à moi mon cœur semble couler comme le navire il y a quelques instants. Si je ne fais rien, je la perds. Ravalant une boule dans ma gorge je lui prends la main pour l’obligé à rester.
« Je t’ai promis de t’emmener jusqu’à Arendelle. » Mais elle semble vouloir me dispenser de cette obligation… Son regard… « Les enfants peuvent prendre mon ancienne cabine de lieutenant, elle est inoccupée, ils y seront en sécurité. Ta présence ne me dérange pas. Je dois juste mettre certaines choses au clair… et même si ma remise en question n’est pas terminée, ce n’est en aucun cas ta faute. Reviens sur le Jolly Roger, s’il te plait. » Je voyais son regard perdu et je ne la lâche pas de mes prunelles océans quand les jumeaux posent la main sur les notre lui indiquant de revenir d’une certaine manière. Je dois la supplier en quelque sorte du regard vu qu’elle accepte. Je laisse échappé un sourire de soulagement à ça. C’est en silence qu’on retourne sur mon navire, je ne dis rien quand elle soigne Will du coup que je lui ai donné. Je les conduits jusqu’à mon ancienne cabine ouvrant la porte et les invitants à y pénétrer. Cette cabine était plus petite que celle du capitaine, mais ça leur conviendra. Elle est inchangée depuis ma mutinerie, mais entretenue. Je laisse Viviane rassurer les enfants dans le silence. « On viendra frapper à votre porte à l’heure du repas, pour que vous mangiez avec moi et votre nouvelle mère si vous le désirez. » Je dis tout ça en français. Oui je connais beaucoup de langue. Ensuite je les laisse à leurs intimités avec ma dame regagnant mes quartiers. A l’heure du repas, Smee va les chercher. La soirée s’annonçait bien, même si je peux sentir la tension entre moi et Viviane. J’assure aux enfants qu’ils peuvent manger ce qu’ils veulent, qu’on ne manquera pas de nourriture sur ce navire.
Je reste seul dans ma cabine quand Viviane va préparer les enfants pour la nuit. Je réfléchis, déjà lasse de tout ce qui se bouscule en moi… je bois un verre de rhum quand elle revient dans ma cabine. Je me lève pour lui faire face quand elle me demande ce qui m’arrive… Je baisse les yeux quelques secondes avant de la regarder de nouveau essayant de trouver les bons mots. J’ai toujours été doué dans les mots, mais avec elle je suis à court. Elle était sur le point de partir quand j’ose enfin parler.
« Je… j’ai besoin de temps pour mettre mes idées en place. Mais sache seulement que ce n’est pas de ta faute, c’est de la mienne. Je dois trouver des réponses. » elle me dit alors qu’elle remonte sur le pont pour me laisser l’espace dont j’ai besoin et qu’elle n’aurait pas dût revenir à bord… Je la laisse partir le regard triste… je redescend après quelques minutes dans les cuisines où je retrouve Hamilton qui m’accueille avec un sourire et une bouteille de rhum. Comme toujours il attend que je fasse le premier pas. « Je lui ai dit parler… Je n’aurai pas dû. Elle s’en veut maintenant. » « Je sais ce que tu ressens gamin. Et ressentir ce genre de chose n’est pas un manque de respect ou d’amour envers Milah. Elle voudrait ça pour toi, que tu tournes la page. » Je l’observe avec un regard noir. « Jamais je l’oublierai, ni ne tournerai la page ! Et arrête de faire ce genre de chose, je ne suis pas amoureux de Viviane ! » il me regarde en soupirant, sans doute lasse de mon aveuglement. « Ne met pas des mots dans ma bouche junior. Je te dis simplement de continuer à vivre. Cette femme t’apaise. Milah aurait voulu ça pour toi et tu le sais. Ton frère aurait voulu ça. Tu les honores plus que tu ne les insultes en vivant de nouveau. Je ne t’ai jamais vu autant sourire depuis ce fameux jours. Va la retrouver et répare tes conneries fils. »
Je lui lance un dernier regard avec un sourire avant de m’élancer sur le pont. Je la retrouve allongée sous les étoiles et je me perds quelques secondes dans sa beauté au clair de lune. Après ma contemplation silencieuse je vais m’allonger près d’elle la main sous ma tête. Elle ne met pas longtemps avant de placer sa tête sur mon épaule. Automatiquement je mets ma main sur son ventre la caressant doucement du bout des doigts lui embrassant le haut de sa tête. – « J’ai dit ou fait quelques choses qui te font te poser des questions ? Tu… enfin à force d’entendre parler tes marins, tu ne sembles pas avoir eu ce genre de réflexion depuis longtemps. » je lui souris doucement la resserrant contre mon et posant ma joue sur ses cheveux regardant les étoiles. « Je suis effrayé de quelques choses. Je ne peux pas encore te dire de quoi, mais tu le sauras dès que j’aurai les réponses que je cherche. » Son baiser sur mon torse me fait sourire davantage et je lui réponds par un autre baiser dans ses cheveux en ne cessant pas mes caresses sur son ventre. « Je te l’ai dit sur un autre sujet, mais tu n’es pas obligé de me le dire. Sache seulement que je suis là si tu as besoin de parler. » Je refoule une boule dans ma gorge en fermant les yeux quelques secondes. Sa présence et ses caresses m’aident à cracher un morceau de mon passé… « Il y a très longtemps j’avais rencontré une femme, Milah. Une femme extraordinaire. Elle cherchait à fuir un mariage abusif, je l’ai recueilli sur le Jolly Roger. Au fur et à mesure on est tombé amoureux l’un de l’autre. Elle était tellement belle, fougueuse comme l’océan comment un homme comme moi pouvait résister ? On vivait heureux durant des années jusqu’à ce que son ancien mari devenu le Ténébreux ne nous retrouve et la tue devant moi. Lui broyant le cœur sous mes yeux. Elle m’a été arraché sans que je ne puisse ne serait-ce lui dire adieux… Depuis ce jour une partie de moi est décédé. J’y ai laisser ma main et mon propre cœur. Depuis je me suis jugé de ne plus jamais avoir une autre femme à bord de ce navire et ne plus en être proche. Mais maintenant… avec toi à bord… C’est trop tard. Je commence à t’apprécier énormément, peut-être trop. Et involontairement tu m’as déposé un baiser l’autre soir… Et ça me terrifie. » je peux sentir ses larmes qui coulent sur mon torse et je ne retiens pas certaine des miennes qui arrivent à s’échapper. Le silence n’est pas gênant, ni lourd, il est même réconfortant avec seulement le son des vagues contre la coque du navire. « Il reste une semaine jusqu’à Arendelle. Après tu vas retourner à Neverland et sauf si nous avons énormément de chance nos routes ne se croiseront pas à nouveau. Nous sommes humains Killian… Et nous avons tous des sentiments et de l’affections ou du ressentiment. Ce n’est pas parce que tu m’apprécie qu’à cause de notre douleur on se comprends que ça chance ce que tu as décidé. Bientôt tu m’auras oublié tu verras… » J’émet un faible rire devant ses paroles. « Hélas, je ne pense pas t’oublier de sitôt princesse. » Sa réponse comme quoi elle, elle ne m’oubliera jamais réchauffe mon cœur et me faire sourire. Je l’embrasse de nouveau sur la tête avant qu’elle me rappelle que je suis le seul… elle va ensuite pour se congédier voulant allez dormir avec les enfants. Je la laisse se relever la suivant avant de lui prendre la main lui caressant doucement en la regardant d’un air doux. « Tu veux bien repartager ma cabine avec moi ? Tu me manques. »« Si tu veux, Captain. »
C’est avec un dernier sourire que je la conduis doucement dans notre cabine commune. Alors qu’elle commence à se déshabiller, je pose la main sur son épaule lui quémandant la permission de la déshabiller moi-même, chose qu’elle accepte ce qui ne fais qu’augmenter la douce flamme dans mes yeux. C’est avec lenteur et remplis de respect que je lui enlève chaque vêtement, caressant respectueusement chaque parcelle de corps découverte. Elle est nue devant moi à part son lien en cuir avec sa dague. C’est silencieusement que je lui demande si elle m’autorise à lui retirer, ce qu’elle fait avec un sourire. C’est donc avec un infime respect que je me mets à genoux devant elle pour lui retirer doucement cette protection que je pose ensuite sur la table. Je la prends quelques secondes dans mes bras comme ça, elle nue et moi encore habillé. Elle commence ensuite à m’enlever mon long manteau de cuir qu’elle pose proprement. Elle se met ensuite à défaire lentement les boutons de mon gilet et de ma chemise me retrouvant torse nu devant elle. Je n’ai pas derrière pensé à notre séance de déshabillage, je la regarde seulement avec l’un des regards les plus doux dont je pouvais faire preuve. Elle me déshabille complétement avec respect et lenteur.
Elle s’arrête ensuite sur mon mécanisme en cuir…. Elle attend ma permission je le sais, mais j’ai honte de cette partie de moi. Elle doit le lire dans mes yeux vus qu’elle dépose un doux baiser sur ma joue. Me rassurant. Je lui repose alors la main sur mes sangles de cuir qui vont de mon épaule jusqu’à mon bras mutilé. Je l’observe me retirer ce fardeau. La sincérité dans son regard… la douceur. Je pose mes lèvres sur les siennes tendrement me laissant allez à cette sensation divine. Je ne peux plus lâcher ses lèvres, mon cœur martèle ma poitrine. Cette paix que je ressens, cette tendresse. Le mécanisme à terre je la colle à moi l’embrassant de nouveau comme si ses lèvres étaient à présent ma raison de vivre. Je la porte jusqu’à mon lit et l’assoie sur mes genoux ne voulait jamais cesser nos baisers, nos langues créant une danse des plus délicieuses. C’est au bout de je ne sais combien de minutes que la pièce est remplis de doux gémissement au vue de notre état. Dieu je n’ai rien eu d’aussi érotique depuis des siècles… On continue à se titiller gémissant ensemble avant que je ne la porte d’un bras pour la coucher sur le lit et la couvrant de mon corps retrouvant ses lèvres, bougeant mon bassin pour créer plus de friction. Dieu j’ai tellement envie d’elle à ce moment précis. Ses baisers semble me ressusciter. Entre deux baisers j’entends sa demande… Lui prendre le cul… Je la regarde surprise, mais pas moins allumé pour autant. « Tu es sûr de toi ? » Sa voix suppliante… je ne suis qu’un homme je ne peux pas résister. Je l’embrasse une dernière fois avant d’humidifié un de mes doigts et de la préparer lentement guettant ses réactions. De mon doigt je fais de lent va et vient jusqu’à ce qu’elle gémisse et rajoute ensuite un autre doigt. Quand je vois qu’elle semble être prête je retire mes doigts et place mon gland à son entrée la titillant. C’est doucement pour ne pas lui faire mal que je la pénètre seulement de mon gland pour le moment et même ça… mes yeux se révulse et je ne cache pas un gémissement de pur plaisir. Je la regarde dans les yeux ayant peur de lui faire mal mais elle me rassure du contraire. Je pousse alors lentement mon membre en elle ne la lâchant pas des yeux. C’est tellement bon… et le plaisir que je vois dans ses yeux à chaque centimètre rajouté… quand je suis entièrement en elle me pose ma tête contre son cou reprenant mon souffle lentement. « C’est tellement bon, t’es tellement serré autour de moi. S’il te plait me permet-tu de bouger ? » elle m’y autorise en poussant sur mes fesses en m’embrassant. C’est lentement alors que je commence à bouger ne cachant aucun de mes grognements de plaisir. Je la regarde dans les yeux mettant ma main sur sa joue essayant de rendre ce moment le plus intime possible émotionnellement. Je lui prends la main que je maintiens au-dessus de sa tête entrelaçant nos doigts alors que j’accélère mes coups de reins, sortant et rentrant complètement pour la rendre dingue. Ces réclamations vont avoir raison de moi… et sa main qui caresse ce bouton de nerf que j’aime tellement. Je l’embrasse de nouveau avec fougue accélérant mes mouvements. « Vient pour moi princesse, laisse-moi te voir venir autour de moi. » Je vois qu’elle est sur le bord, c’est avec des derniers coups de reins que je l’entends hurler mon prénom. La façon dont elle se serre autour de mon membre à raison de moi et je la rejoints grognant son prénom avant de retomber sur elle. Je lui souris quand elle dit à quel point je suis beau en venant. « Tu es grandiose quand tu viens. Je ne m’en lasserai jamais. » Je souris à la suite de ses paroles l’embrassant encore et encore avant de me dégager d’elle pour prendre notre position pour dormir. Je la serre contre moi lui caressant comme toujours le ventre avant qu’elle s’endorme lui embrassant le cou.
Après une nuit plus reposante que jamais, je me réveille pour la regarder dormir en souriant doucement. Quand elle se réveille je dépose un doux baiser sur ses lèvres de bonjour. Elle est tellement belle ainsi. Je rigole à ses paroles. Elle me remercie pour la nuit qu’on a partagée et tout ce que je lui apporte. « J’ai autant de raison de te remercier princesse. Tout ce que tu m’apportes depuis que tu es arrivée sur le navire. » elle perd son sourire et d’un coup j’ai peur d’avoir dit quelques choses qui l’a brusqué… qu’est-ce qu’une vierge effarouchée, têtue et trop franche peut bien m’apporter ? Si seulement tu savais mon ange…
« Tu m’apportes la paix mon cœur. Paix que je n’ai pas ressenties depuis bien trop longtemps. » elle a le souffle coupé je peux le voir et son regard me rend fou. Je me laisse aller à sa caresse sur ma joue. - « Quand je suis dans tes bras je me sens belle, forte, respecté et surtout en paix. » je souris à ces paroles lui embrassant son front, ses paupières, ses joues à chaque parole. « Tu es belle Viviane, tu es forte, je te respecterai de cette façon jusqu’à la fin des temps. » Je fini en posant un doux baiser sur ses lèvres la fixant ensuite à sa confession. Cette nuit a été l’une des plus belles choses qui lui soit arrivé. Je pourrais presque lui dire la même chose… elle semble presque honteuse de m’avouer ce genre de chose, ne sachant pas si ce genre de chose ce dises après avoir partagé ce qu’on a partagé. « Oui chérie, et je comprends parfaitement ton point de vue. » je cache un gémissement quand elle dit vouloir repartager ce genre de chose avec moi. Dieu si seulement tu savais à quel point je le veux aussi… alors qu’on est face à face elle m’embrasse de nouveau caressant mon corps passant de mon bras, mon moignon jusqu’à mon dos en allant sur mes fesses. A sa caresse je me rapproche encore plus d’elle qu’elle puisse sentir mon érection contre son ventre. Je lui réponds en la caressant aussi alors qu’elle bouge son bassin contre ma virilité je vais jusqu’à ses fesses que j’agrippe en l’embrassant. A son sourire je ne peux que répondre par un clin d’œil en continuant à la caresser titillant son entrée la sentant déjà trempé pour moi… je vais jusqu’à lui titiller son cul pour voir qu’elle est quasiment presque sans que je fasse rien pour cela. « Tu es insatiable. » Je lui fais un sourire plein de sous-entendus en accentuant mes caresses. Quand elle me demande si c’est une mauvaise chose je lui répond dans un murmure rauque de plaisir. « C’est une très bonne chose au contraire. » je l’ai rassuré je le vois dans son regard et à ses mots. – « dis-moi ce que je dois faire ou comment me mettre pour ne faire qu’un à nouveau… »
Je grogne contre sa peau en lui mordant doucement le cou. « Tu veux que le capitaine sorte et s’amuse un peu. Très bien. Si jamais tu n’aimes pas ou que je te fais mal, dis-lui moi j’arrêterai. » je me relève sur le lit caressant ses fesses d’un main plus rude que d’habitude tapant doucement sur elle. « Met toi à quatre pattes. » je souris méchamment et lui dit qu’elle est une bonne fille quand elle s’exécute. Je me place derrière elle lui embrassant chaque ligne de son dos avant de mordre les joues de son cul et de lui écarter pour la lécher et la titiller de ma langue cette voie qu’elle semble tant aimée. Je me relève ensuite prenant mon membre en main déjà dur pour elle, sans plus d’avertissement je la prends d’abord lentement de peur de lui faire trop mal. A son gémissement je sais qu’elle va plus que bien. Je laisse ma tête retombé un moment en fermant les yeux. « Si tu savais à quel point c’est bon de sentir ton cul aussi serrer autour de ma bite. » je commence mes mouvements plus brutale qu’hier soir avec de puissant coup de rein. Ses mots et gémissements… « C’est ça, supplie-moi de te pilonner ça c’est ma fille. » je pose ma main contre son épaule pour m’aider a accéléré mes mouvements toujours plus vite et profond je peux sentir mes couilles s’abattre contre elle et dieu ça me rend dingue. Quand je vois qu’elle flanche sous le plaisir que je lui donne je m’accroche à ses hanches un moment avant de lui mettre une fessée trop pris dans le moment. Si je regrettais la seconde où je l’ai fait, ces gémissements me prouvent le contraire et l’effet que ça a eu sur elle… cette femme va me tuer. J’effectue de nouveau ces coups avant de me pencher vers elle et la ramener contre mon torse n’arrêtant jamais mes mouvements de reins. Je lui saisis violemment un de ses seins en lui mordant le cou. A son affirmation qu’elle est proche j’arrête ma morsure lui saisissant doucement la gorge quelques secondes avant de remettre ma main sur sa poitrine. « Lâche toi, laisse-moi t’entendre crier mon nom. Réveil ce putain de navire avec tes cries. » En sentant qu’elle était sur le point de venir j’arrête tout en poussant un rire sombre avant de lui mordiller l’oreille et de reprendre sans avertissement mes assauts avec force jusqu’à ce que je la sente exploser contre moi. Elle hurle mon titre et je peux voir sa magie dans ses mains. Dieu. Je laisse mes cris à mon tour remplir la cabine jusqu’à ce que j’explose à mon tour hurlant son prénom. Mon dieu… je lui pose des baisers sur son épaule avant de la mordre pour la marquer mienne. Elle se retourne pour quémandé un baiser que je lui offre avec plaisir.
Je rigole doucement quand elle m’affirme de nouveau qu’elle aime ça. Je reprends encore mon souffle de cet orgasme des plus intense quand elle ose demander si elle était à la hauteur… sérieusement ? « Je viens d’avoir l’un des orgasmes les plus intenses de mes dernières années et tu me poses cette question ? » elle se dégage de moi pour me regarder dans les yeux. Je la regarde avec tendresse a ses confessions, qu’elle a jamais imaginer faire ça un jour et qu’elle ne pensé pas avoir assez confiance en quiconque pour lui laisser lui faire ça avant que j’arrive dans sa vie. Je peux voir les larmes aux bords de ces yeux, je voulais lui enlever doucement mais elle se jette dans mes bras. C’est avec un sentiment que je n’ai pas ressenti depuis trop longtemps que je la serre contre moi lui embrassant les cheveux étant dans un cocon avec elle ainsi contre moi. Je nous couche toujours dans cette position ne voulant pas briser le moment parfait entre nous.
On ne reste je ne sais combien de temps ainsi avant qu’elle ne commence à m’embrasser le cou et descendre ses baisers le long de mon torse et de mon ventre jusqu’à arriver à ma virilité encore souillé de notre activité. Je l’observe me nettoyer de sa langue. Avant que ça n’ailles plus loin je lui saisis doucement le bras pour la ramener contre mon l’embrassant lentement et lui caressant le dos de ma main et mon moignon tendrement. Je brise le silence au bout de plusieurs minutes.
« Je ne me suis jamais senti réellement en paix jusqu’à ce que je te rencontre. Avec toi et dans l’intimité de notre cabine je peux faire tomber mon masque. Et je ne te remercierais jamais assez pour ça. » elle me regarde dans les yeux et je peux voir dans son regard qu’elle veut me poser une question… je lui souris en posant une main tendre sur sa joue l’encourageant. – « Milah ne t’apaisait pas ? » il y a encore pas longtemps entendre son prénom de la bouche de quelqu’un d’autre aurait pu me rendre fou de rage, mais curieusement ce n’est pas le cas actuellement. « Bien sûr, elle m’apaisait, d’une certaine manière, mais c’était différent. » Viviane me demande ensuite si ça me gêne de parler de Milah qu’elle ne veut pas lui manquer de respect ou me faire souffrir. Je lui souris en lui embrassant doucement la main. « J’aime Milah plus que je ne pensais possible d’aimer, mais elle avait son caractère. Ce n’était pas une femme facile et je crains qu’elle ne faisait pas ressortir le meilleur de moi. » Notre discussion qui suit m’aide à ouvrir les yeux sur plusieurs choses… y compris mes possibles sentiments pour elle. Et le fait qu’elle ne sache pas ce qu’elle ressent pour moi…
Quand elle quitte la cabine pour rejoindre les enfants je m’habille à mon tour avant de rejoindre mes hommes. J’observe quelques temps Viviane avec les enfants sur le pont avec un sourire avant de descendre jusqu’au cuisine où je vois déjà Hamilton m’attendre avec un grand sourire. « Qu’est-ce qui se passe vieux loup de mer ? » Je vois son sourire grandir encore plus. « J’ai peut-être entendu quelques choses qui me dit que toi et ta dame vous vous êtes retrouvés. Des murmures entre les murs fins de ce navire. » Je rougis comme pas possible avant de me gratter l’oreille et de regarder ailleurs comme un enfant qui a été pris par ses parents. « T’as entendu ? ... » Il rigole avant de me taper l’épaule. « Je suis sûr que vous avez réveillez Poséidon lui-même avec vos cris mon garçon ! » Je rigole à mon tour m’asseyant à côté de lui avec un verre de liqueur. « Je n’arrive pas à détruire ce que je ressens pour elle. Quand je suis avec elle je me sens vivre… j’ai envie d’être meilleur pour elle, un homme presque digne d’elle tu vois ? » Il ne me coupe pas, acquiesçant juste de la tête. « Je n’ai pas ressenti ce genre de chose depuis Milah et même c’était différent… Je me sens comme un ado avec elle c’est horrible ! Je souris à m’en faire mal au joue c’est ridicule. »« T’es amoureux Killian. » si encore hier je l’avais engueulé quand il m’avait affirmé ça, je ne fais rien cette fois, ne souriant que comme un débile. « Liam aimerait cette femme pour toi. Maintenant à toi de te débrouiller pour pas la perdre avant qu’elle n’arrive à Arendelle. »
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